Revue de presse semaine 23
Bonjour à toutes et à tous,
Cette semaine, dans la revue de presse climat & Cop 21, maelström à Bonn pour la reprise des négociations et remous sur le financement des aides internationales notamment, avec :
– COP 21. Nicolas Hulot : « A ce jour, les engagements des Etats ne suffisent pas » – Le Parisien – 4 juin ; où l’envoyé spécial pour le climat rappelle que selon les engagements remis pour l’instant l’on s’oriente vers un réchauffement de 3 à 4°C, et avec l’exemple de Copenhague qu’il ne faut pas pêcher par optimisme.
– Craignant l’enlisement, Paris presse le pas dans les négociations sur le climat – Les Échos – 2 juin ; où à l’occasion des intersessions de négociations de Bonn la France cherche à accélérer le processus de négociations pour parvenir à un « préaccord dès le mois d’octobre », et refondre le texte de base des discussions qui reste actuellement touffu, fourre-tout et très flou sur plusieurs points.
– Le Maroc fait un geste pour le climat – Le Monde – 3 juin ; où le pays hote de la Cop 22 s’engage “à une réduction d’au moins 13 % de ses émissions prévues de gaz à effet de serre à l’horizon 2030 par rapport à 2010”, un objectif assez ambitieux et qui est la deuxième contribution africaine aux négociations.
– Climat : qu’attendre de la nouvelle session de négociations de Bonn ? – Novethic – 1er juin ; où l’on s’intéresse aux intersessions de négociations climatiques qui vont se dérouler du 1er au 11 juin à Bonn, au texte insatisfaisant obtenu à Genève aux dernières intersessions, et où l’on balaie les points de divergence sur lequel les États vont devoir avancer les prochains jours.
Tandis que le G7 et sa présidence allemande se préparent à traiter du climat
– Le G7 veut sauver le climat sur fond de crise grecque et ukrainienne – Les Échos – 4 juin ; où la préparation du G7 ce week-end est l’occasion pour l’Allemagne de montrer son volontarisme climatique… dans une rencontre qui mobilise le plus grand dispositif policier de l’histoire de la Bavière et alors que des crises semblent devoir éclipser la question du climat.
– Angela Merkel, la « chancelière du climat » – Les Échos – 4 juin ; où l’on revient sur le parcours climatique de la chancelière allemande, sa volonté pour le G7 de convaincre les autres membres de s’engager pour le climat, mais aussi sur ses ambivalences et le modèle énergétique allemand parfois controversé.
– Ségolène Royal : « Les négociations de l’ONU sont totalement inadaptées à l’urgence climatique » – Le Monde – 1er juin ; où dans une interview la ministre de l’écologie remet en cause le fonctionnement des Cop, trop lourd, trop incertain, non-contraignant, et estime qu’il faut y réintroduire plus de place au politique et moins à la technique.
– La ville de Bonn, carrefour mondial de la diplomatie climatique – Novethic – 3 juin ; où l’on revient sur le rôle insolite de cette ville qui depuis les années 90 a misé sur l’international et le climat, et “abrite 18 organisations des Nations Unies et quelque 150 organisations gouvernementales et non-gouvernementales” sur le sujet, dont le CCNUCC (Secrétariat des Nations Unies pour le climat), ainsi que nombre de sessions de négociations.
– COP 21 : l’Union internationale des parlementaires s’organise pour pousser les Etats – La Gazette des communes – 28 mai ; où les parlementaires du monde entier veulent rendre une contribution sur le climat le 6 décembre, en plein milieu de la Cop, démarche inédite pour faire pression et car “ce sont les parlements qui auront la tâche de décliner, au niveau national, les accords négociés au niveau international”.
La science qui continue d’alerter :
– La « pause » du réchauffement climatique était un mirage – Le Monde – 4 juin ; où une étude de la revue Science réfute la théorie d’une pause du réchauffement climatique en 1998, farouchement défendue par les lobbyes climato-sceptique, avec une série de nouvelles mesures rectificatives.
– Climat : menaces sur la planète avec le retour d’El Nino – Le Parisien – 3 juin ; où plusieurs catastrophes naturelles récentes présagent selon les météorologues de l’arrivée d’El Nino prochainement en 2015, un phénomène aux conséquences climatiques désastreuses.
– Climat : nouveau record en 2015 ? – Libération – 1er juin ; où une nouvelle étude de la Nasa notamment montre que l’année 2015 a démarré fort et sera peut être après le record de chaleur en 2014, l’occasion de le battre dès l’année suivante… avec quelques conséquences évoquées dont l’impact des Niños.
– Le réchauffement climatique va bouleverser la biodiversité marine – Le Monde – 1er juin ; où une nouvelle étude montre que si le réchauffement climatique dépasse les 2°C, de lourdes conséquences sont à attendre au niveau de la biodiversité marine, avec des disparitions et migrations massives d’espèces à travers le monde, une menace pour toutes les activités halieutiques mais aussi des phénomènes très difficiles à prévoir.
Les négociations climatiques, dépendantes de la solidarité internationale et de son financement
– « Contre le changement climatique, il faut la taxe sur les transactions financières » – Reporterre – 4 juin ; où dans une longue interview, Nicolas Hulot s’attarde sur les risques d’un échec de la Cop 21, et livre selon lui des clés de la réussite : financer de façon pérenne l’aide aux pays pauvres et le Fonds vert, “lutter contre l’optimisation fiscale” et “travailler sur la taxe sur les transactions financières” pour cela, ou encore fixer un prix du carbone.
– Le recul de l’aide au développement française fait mauvais ménage avec la COP21 – Euractiv – 4 juin ; où la France décide, comme en 2014, de diminuer en 2015 le budget de l’aide au développement, alors que “l’imbrication des deux enjeux climat et développement ne cesse d’être souligné, par tous les acteurs” et que François Hollande ne cesse de multiplier les appels à la solidarité internationale.
– «Le Fonds vert, une question politique cruciale pour la réussite de la Cop 21» – Libération – 3 juin ; où Pascal Canfin présente un nouveau rapport du World ressources institute pour montrer qu’alimenter le Fonds vert de 100 milliards de dollars en 2020 est possible, et ce avec plusieurs pistes et scénarios réalistes.
Vélo vs auto ? Des plans de route pour réduire les émissions liées au transport
– Les députés européens font des propositions sur les transports urbains – Localtis – 4 juin ; où l’on débat aprement à Bruxelles de pistes pour réduire l’empreinte carbone du secteur des transports en Europe, sur la base d’un rapport sur la mobilité urbaine qui parle notamment d’en finir avec le diesel, de plan vélo, de directive qualité de l’air, …
– Le vélo meilleur que la voiture pour l’économie globale, démontre une étude – Reporterre – 3 juin ; où une nouvelle étude économique sur “les coûts et les bénéfices engendrés par le vélo et la voiture pour la société”, incluant les questions de couts pour la santé et le climat notamment, montre que le vélo est largement plus avantageux économiquement
– Le congrès mondial « Velo-city » s’ouvre à Nantes, avec la conférence climat en vue – La Gazette des communes – 3 juin ; où le Congrès mondial des politiques cyclables en ville s’intéresse particulièrement à la question du climat, et consacre de nombreux moments à la façon de développer ces politiques et sur quels arguments.
– Désaccords en vue sur la réduction des émissions de CO2 des voitures européennes – Euractiv – 1er juin ; où la Commission européenne s’apprête à réfléchir sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports : un enjeu complexe tiraillé entre approche globale, rendement de la consommation de carburants, réduction de la place de la voiture… et poids des lobbies automobiles.
– Energies fossiles : 6 compagnies pétrolières interpellent l’ONU sur la tarification du carbone – Novethic – 1er juin ; où Total, Statoil, Shell, Eni, BP et BG publient une lettre ouverte à l’Onu pour demander une tarification mondiale du carbone dans un cadre réglementaire… mais aussi de privilégier l’exploitation du gaz comme énergie de substitution.
– Changement climatique : la proposition dont aucun Etat ne veut – Libération – 28 mai ; où Maxime Combes et Nicolas Haeringer reviennent sur une proposition ambitieuse mais totalement occultée des négociations : limiter la production de charbon, de gaz et de pétrole, bref, “définir des objectifs et des mécanismes visant à laisser tout ou partie des réserves d’énergie fossiles dans le sol”.
– Vers un nouveau climat de la finance ? – Actu-Environnement – 1er juin ; où l’on revient sur le Climate Finance Day, à Paris le 22 mai dernier, l’importance du fléchage des financements vers une économie décarbonée, les premières avancées en ce sens de certaines structures… et tout le potentiel qu’il reste à mobiliser.
– Exxon et Chevron refusent d’avoir un expert climat dans leur conseil d’administration – Novethic – 29 juin ; où les deux géants pétroliers américains suivent une trajectoire différente de leurs homologues européens Shell ou BP, en rejetant les résolutions climat à leurs AG, l’intégration d’experts climat et en contestant encore l’importance du risque carbone.
– Climat : Le fonds norvégien va exclure le charbon – Novethic – 28 mai ; où le parlement norvégien décide définitivement et à l’unanimité de faire en sorte que le fonds national, doté de plus de 800 milliards d’euros d’encours, exclue le charbon de ses investissements.Et en bonus :
Dolores et Soledad
Dolores Kotorep de las Lagrimas Sacrificiales est née en Indochine pendant la guerre. Miraculeusement parachutée en Espagne, elle a été recueillie par un vieux couple d’artisans, travaillant le cuir. Ils sont hélas morts alors que Dolores n’avait que deux ans. D’orphelinat en orphelinat, elle vit donc une enfance tourmentée. A quinze ans c’est la révélation : elle rencontre l’éminente professeure de chant Birgit la Burgonde. Celle-ci la repère immédiatement et l’inscrit derechef à la Royal Academy of lyric Arts de Boston. Début de carrière fulgurant. Elle se consacre désormais au chant, corps et âme. Sa devise : « si on chantait, si on chantait, si on chantait ! »
Soledad Consuelo del Barrio Sucio, a vu le jour dans l’arrière-cuisine d’un casino à Mar del Plata (Argentine). Elle est élevée par Pedro, le chef cuisinier, mais on soupçonne qu’elle était en réalité la fille de Julio, le croupier. Perturbée par cette double identité, elle décide de tout quitter et â 17 ans elle embarque pour l’Europe . C’est sur le marché aux poissons de Bilbao, où elle est vendeuse de poulpe, qu’elle rencontre Birgit la Burgonde. Celle-ci, impressionnée par sa puissance vocale, la prend sous son aile et fait d’elle l’artiste lyrique hors pair qu’elle est aujourd’hui. Sa devise : « chanter, c’est c’qu’il y a d’plus beau ; chanter c’est monter si haut. »
UniverSel87
L’Universel87, système d’échange local de Limoges existe depuis l’été 2004.
Le Groupe s’est constitué en association loi 1901 depuis février 2007 et il est régi par un collectif.
Lors des rencontres mensuelles qui ont lieu autour d’un repas, chaleureux et convivial, tiré du sac ou par l’intermédiaire du catalogue des offres et des demandes (voir le catalogue), les personnes échangent des petits services ponctuels, des savoirs ou des biens d’occasion.
Nos échanges se pratiquent de gré à gré, sans argent, dans l’esprit des SEL où “le lien est plus fort que le bien”. Chaque nouveau membre reçoit une “Feuille personnelle de compte” sur laquelle il note ce qu’il échange avec l’autre personne au moyen de notre unité de valeur, “le Talent” basé sur le temps (ex : 60 talents = 1 heure).
Les rencontres et les échanges ont lieu dans toute la Haute-Vienne (87) et aussi avec d’autres Sel, par exemple avec le CarrouSEL de Creuse, notamment lors des Bourses Locales d’Echanges (BLE).
L’UniverSel fait partie de SEL’IDAIRE, association nationale d’information et de promotion des SEL regroupant plus de 300 SEL de France. L’UniverSel87 est également membre de la Route des Sel qui propose des hébergements chez l’habitant sur le principe du SEL.
Les enfants terribles
“Les Enfants Terribles” est une association de théâtre de rue d’enfants agréée Jeunesse Education Populaire.
Elle est formée de deux troupes de théâtre qui fonctionnent à l’année et organise des ateliers et des stages pour initier des jeunes au théâtre de rue.
Elle propose à d’autres enfants et ados (débutants, amateurs ou confirmés ) de venir découvrir l’univers magique des saltimbanques au cours d’une colonie pendant l’été.
Revue de presse climat et Cop 21 du 28 mai 2015
Bonjour à toutes et à tous,
– Laurent Fabius fait appel aux entreprises pour financer la COP 21 – Le Monde – 27 mai ; où l’on s’attarde sur le choix du gouvernement de faire financer 20% des 187 millions d’euros que couteront la Cop par le secteur privé… et sur l’annonce ce mercredi, qui laisse la porte ouverte à d’autres, des 20 premiers sponsors choisis déjà très controversés.
– Hollande pollue la COP21 et le climat des négociations – Blogs Médiapart – 28 mai ; où Maxime Combes critique dans le détail le choix des sponsors de la Cop, et met en perspective les enjeux en questionnant le besoin de fonds privés, la confiance et la crédibilité d’un tel choix à 6 mois de l’événement et rappelant la Cop19 de Varsovie qui avait vu le départ des ONG, associations et syndicats pour dénoncer la prégnance des intérêts privés.
Pour info, les 20 sponsors annoncés le 27 mai sont : ACI, Air France, Axa, BNP Paribas, Caisse centrale de réassurance CCR, Caisse des dépôts groupe, Derichebourg, EDF, Engie, ERDF, Galeries Lafayette, Generali, Ikea, JC Decaux, La Poste, LVMH, Michelin, Renault Nissan, Suez Environnement, Syndicat des eaux d’Île-de-France.
L’implication des religions et le lancement en France de la collaboration inter-religieuse sur le climat
– Le « plaidoyer » pour le climat des six religions de France – Le Monde – 22 mai ; où les représentants des six principales religions françaises préparent pour le 1er juillet un “plaidoyer” commun pour la protection du climat, comme enjeu de rassemblement, d’égalité, de justice, voire d’anthropologie.
– L’écologie enfin en odeur de sainteté – Terra-Eco – 25 mai ; où l’on revient sur le colloque inter-religieux du 21 mai qui a traité de la question du climat, la volonté de chacun de plaider pour l’enjeu climatique, les positions des uns et des autres, et quelques limites évoquées sur l’anthropocentrisme ou le désinvestissement des énergies fossiles.
– Aux Etats-Unis, les paroisses veulent convertir les climatosceptiques – Le Monde – 22 mai ; où sur l’impulsion du pape et des évêques catholiques, de nombreuses paroisses américaines décident de défendre la doctrine de “l’écologie intégrale”, qui ne fait pas consensus mais veut convaincre de l’importance de lutter contre le dérèglement climatique.
A froid, un retour sur les conclusions du Business and Climate summit…
– Climate Business Summit : un consensus et des promesses à tenir – Novethic – 21 mai ; où l’on s’intéresse aux consensus trouvés au sommet, notamment avec une déclaration signée très largement qui appelle à “une tarification du carbone, l’élimination des subventions aux énergies fossiles, la mise en place d’une alliance entre le secteur privé et les gouvernements pour intégrer des politiques climatiques dans l’économie, ou encore la création d’un fonds public surpassant les 100 milliards de dollars promis à Copenhague”.
Et pour aller plus loin, deux interviews permettent de mieux connaitre l’historique des positionnements des entreprises et leurs réseaux sur le climat, ainsi que sur ceux plus précis des acteurs de la finance et des assureurs. Et sur une question qui y était centrale, celle des marchés carbone et de leur mise en œuvre
– Christian de Perthuis : “Pour débloquer les négociations sur le climat, instaurons un bonus-malus international sur le carbone” – Novethic – 27 mai ; où le directeur de la Chaire économie du climat de Paris-Dauphine estime qu’un prix du carbone international va s’avérer indispensable, avec deux corollaires, un mécanisme de bonus-malus mondial également et des marchés carbones transcontinentaux pour son application.
– Finance verte : la Chine peut booster le marché des green bonds – Novethic – 26 mai ; où l’on revient sur la situation en Chine où le financement de la transition vers une économie décarbonée ne sera pris en charge qu’à hauteur de 15% par le secteur public… qui compte sur des green bonds, marchés carbone et mécanismes de compensation pour financer le reste.
– Les entreprises réclament un prix du carbone pour la COP 21 – Euractiv – 22 mai ; où l’on revient sur la demande principale des entreprises privées au Business and Climate summit de la semaine dernière, l’instauration d’un prix du carbone fiable… sans que sa mise en œuvre soit explorée ni prendre de quelconque engagement sur le sujet.
– Des centrales à charbon contraintes de fermer aux Etats-Unis – Terra-Eco – 21 mai ; où comme en Chine, les normes sanitaires en terme de qualité de l’air forcent les Etats Unis à fermer purement et simplement plusieurs de leurs centrales à charbon.
– La face cachée des énormes bénéfices financiers générés par Total – Bastamag – 28 mai ; où “l’Observatoire des multinationales et Basta !, en partenariat avec les Amis de la Terre, publient un contre-rapport sur les activités de Total à l’occasion de son assemblée générale”, pour mettre à jour les véritables couts sociaux et environnementaux du groupe, dans un contexte de désinvestissement des énergies fossiles et d’impératifs climatiques.
– Recherche et compensation carbone, les deux martingales de l’aviation face à l’enjeu climatique – Euractiv – 26 mai ; où l’on cherche des pistes pour réduire leurs émissions de CO2 du transport aérien… ce qui “est une gageure”, et ce sur quoi les géants de l’aviation semblent plutôt privilégier la recherche sur l’efficacité énergétique et la compensation carbone.
A l’international et dans l’avancée du processus de négociations, appels et interrogations
– Climat: Obama appelle à l’action, les ouragans en toile de fond – Le Point – 28 mai ; où le président américain continue ses multiples prises de position en faveur du climat, axant cette fois son discours sur la question des catastrophes naturelles et des ouragans, préoccupation forte aux Etats Unis.
– Climat : les Africains doivent-ils payer pour le réchauffement provoqué par les autres ? – Le Monde – 27 mai ; où à l’occasion des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, l’on s’intéresse également au prix du carbone, à la responsabilité différenciée et où l’on plaide pour que le continent qui émet le moins de CO2 n’ait pas à assumer la responsabilité des plus pollueurs.
– Climat: pour Fabius, un accord sera d’une “difficulté extrême” mais le contexte est favorable – L’Express – 26 mai ; où le ministre des affaires étrangères analyse l’état des négociations, les conditions selon lui de leur succès, et estime que si pour l’instant il reste beaucoup à faire la situation est nouvelle et en progrès.
– Les 30 et 31 mai, 1000 initiatives pour le climat – Bastamag – 26 mai ; où l’on relaie l’appel de la Coalition climat 21, qui regroupe plus de 80 organisations associatives ou syndicales engagées sur le climat, à organiser partout en France et dans le monde “1000 initiatives pour le climat” ce week end des 30/31 mai, avec carte interactive des initiatives.
– Make It Work: ouvrir la boîte noire des négos sur le climat – Makery.info – 26 mai ; où l’on raconte l’événement Cop21 Make it work qui se déroule actuellement à Nanterre, mise en scène théâtrale à destination de 200 étudiants qui seront mis à contribution pour jouer le théatre des négociations climatiques… et les faire marcher !
– Luc Jacquet: “Un film peut changer le regard sur le monde” – L’Express – 24 mai ; où dans une longue interview le réalisateur de la Marche de l’empereur présente son nouveau film diffusé à Cannes, la Glace et le ciel, et sa démarche pour sensibiliser aux causes du dérèglement climatique.
Et en bonus :
Melilotus
Bienvenue !
Installés en Corrèze, sur les plateaux du pays de Tulle, nous développons notre activité depuis
2013 et nous sommes heureux de vous présenter ici notre gamme de plantes aromatiques et médicinales et de légumes que nous produisons en agriculture biologique.
Naturalistes passionnés, nous avons fait le choix d’une activité respectueuse de l’environnement,
de la flore et de la faune. Nous recherchons en permanence le meilleur compromis pour offrir des
produits d’une grande qualité tout en réduisant au maximum l’impact de notre activité.
Nos pratiques sont ainsi le reflet de cette ambition : nous sélectionnons précautionneusement nos
sites de cueillette loin de toute pollution, nous travaillons manuellement au rythme des saisons,
nos transformations sont artisanales, nous cultivons sur planches permanentes suivant des techniques inspirées de l’agro-écologie et de la permaculture…
Melilotus est une ferme familiale, à taille humaine et nos volumes de production sont par conséquent limités. N’hésitez pas à nous contacter pour toute demande particulière.